Episode 2 - Les discours du vide avec Marie-Sophie Banville
Cet épisode se présente en deux parties.
D’abord, Guillaume, Marie-Sophie et Émile racontent leur première rencontre au parc Lafontaine, avec au passage quelques folies de jeunesse. Il s’agit de l’occasion pour notre collaboratrice Marie-sophie de nous raconter son parcours professionnel, nous expliquer la libération associée à la fermeture de sa page Linkedin et son escapade récente sur la Côte-Nord.
Ensuite, l’équipe de Cadre bâti aborde les discours du vide.
Ces discours parfois portés par les politiciens, développeurs, urbanistes et autres architectes consistent à dépeindre la ville comme un canevas vierge, une surface inscriptible; puisqu’il n’y a rien ici, nous allons y inscrire quelque chose. Souvent, cette approche se présente comme salvatrice, les interventions proposées venant sauver nos villes du « vide ».
Cet épisode se présente en quelque sorte comme une suite plus théorique de celui réalisé avec Hélène Bélanger à propos de la gentrification qui approfondissait aussi, à sa manière, cette mécanique des développeurs et professionnels à raconter certains espaces comme « vides ».
Cette fois, Guillaume, Marie-Sophie et Émile s’interrogent plutôt sur les professions et professionnels qui inventent ces discours. Cette discussion les mène à considérer le devenir possible d’un urbanisme critique, défendant ardemment le présent, la lenteur et... le vide.
D’abord, Guillaume, Marie-Sophie et Émile racontent leur première rencontre au parc Lafontaine, avec au passage quelques folies de jeunesse. Il s’agit de l’occasion pour notre collaboratrice Marie-sophie de nous raconter son parcours professionnel, nous expliquer la libération associée à la fermeture de sa page Linkedin et son escapade récente sur la Côte-Nord.
Ensuite, l’équipe de Cadre bâti aborde les discours du vide.
Ces discours parfois portés par les politiciens, développeurs, urbanistes et autres architectes consistent à dépeindre la ville comme un canevas vierge, une surface inscriptible; puisqu’il n’y a rien ici, nous allons y inscrire quelque chose. Souvent, cette approche se présente comme salvatrice, les interventions proposées venant sauver nos villes du « vide ».
Cet épisode se présente en quelque sorte comme une suite plus théorique de celui réalisé avec Hélène Bélanger à propos de la gentrification qui approfondissait aussi, à sa manière, cette mécanique des développeurs et professionnels à raconter certains espaces comme « vides ».
Cette fois, Guillaume, Marie-Sophie et Émile s’interrogent plutôt sur les professions et professionnels qui inventent ces discours. Cette discussion les mène à considérer le devenir possible d’un urbanisme critique, défendant ardemment le présent, la lenteur et... le vide.