Épisode 33 ~ Résonner dans l’espace avec Pierre Lapointe
Dans cet épisode enregistré devant public à l’Espace ville autrement, Emile et Guillaume s’entretiennent avec Pierre Lapointe, auteur-compositeur-interprète, mais avant tout, artiste.
Pierre s’intéresse au design, à l’art et à l’architecture depuis qu’il est enfant : la poésie d’un centre d’achat vide de banlieue, son premier contact avec des œuvres de design moderne, l’écho d’une salle d’exposition au Musée des Beaux-Arts, les maisons du secteur des ambassades à Ottawa sont autant d’expérience qui ont forgé son imaginaire.
Pour lui, la relation aux espaces et aux objets est avant tout physique, viscérale. Certaines œuvres, certains objets de design exercent sur nous un pouvoir : celui de nous « nettoyer », de nous rééquilibrer.
Le design et l’architecture nous ramènent d’ailleurs à un médium plus familier dans l’œuvre de l’artiste : pour Pierre, il n’y a pas de réelle distinction entre les objets d’art et la musique. En témoigne son parcours qui l’a mené des arts plastiques aux arts de la scène puis à la musique, pour percoler depuis dans d’autres médiums comme la scénographie et la mise en scène.
Le travail artistique, à ses yeux, est avant tout un travail sensible, mais abstrait. Il s’agit de trouver des agencements, des équilibres, des vibrations. En bref, c’est chercher ce qui résonne.
Dans un épisode qui n’a « rien de sexuel », on ne le répétera pas assez, on passera ainsi du cœur à la tête et au corps pour découvrir autrement un artiste qui s’est souvent servi de l’art pour s’extraire des contextes dans lesquels il se sentait trop à l’étroit. Un voyage entre la musique, l’art plastique, l’acoustique des espaces urbains, les objets de design et les espaces de la vie quotidienne qui a tout d’une leçon sur notre expérience sensorielle de l’urbain, et rappelle aussi le projet d’une topo-analyse proposée par Gaston Bachelard dans La poétique de l’espace.
En prime, deux, trois primeurs qui rendraient jalouse l’équipe du Écho-Vedette…
Pierre s’intéresse au design, à l’art et à l’architecture depuis qu’il est enfant : la poésie d’un centre d’achat vide de banlieue, son premier contact avec des œuvres de design moderne, l’écho d’une salle d’exposition au Musée des Beaux-Arts, les maisons du secteur des ambassades à Ottawa sont autant d’expérience qui ont forgé son imaginaire.
Pour lui, la relation aux espaces et aux objets est avant tout physique, viscérale. Certaines œuvres, certains objets de design exercent sur nous un pouvoir : celui de nous « nettoyer », de nous rééquilibrer.
Le design et l’architecture nous ramènent d’ailleurs à un médium plus familier dans l’œuvre de l’artiste : pour Pierre, il n’y a pas de réelle distinction entre les objets d’art et la musique. En témoigne son parcours qui l’a mené des arts plastiques aux arts de la scène puis à la musique, pour percoler depuis dans d’autres médiums comme la scénographie et la mise en scène.
Le travail artistique, à ses yeux, est avant tout un travail sensible, mais abstrait. Il s’agit de trouver des agencements, des équilibres, des vibrations. En bref, c’est chercher ce qui résonne.
Dans un épisode qui n’a « rien de sexuel », on ne le répétera pas assez, on passera ainsi du cœur à la tête et au corps pour découvrir autrement un artiste qui s’est souvent servi de l’art pour s’extraire des contextes dans lesquels il se sentait trop à l’étroit. Un voyage entre la musique, l’art plastique, l’acoustique des espaces urbains, les objets de design et les espaces de la vie quotidienne qui a tout d’une leçon sur notre expérience sensorielle de l’urbain, et rappelle aussi le projet d’une topo-analyse proposée par Gaston Bachelard dans La poétique de l’espace.
En prime, deux, trois primeurs qui rendraient jalouse l’équipe du Écho-Vedette…