My-Van Dam et Tania Lara Casaubon : tisser et sculpter les territoires de l’intime (Série Transversal)
L’une conçoit des installations poignantes et poétiques, l’autre s’offre la liberté d’appréhender plus humainement notre rapport au territoire grâce aux arts textiles ; les deux artistes qui prennent la parole dans cet épisode possèdent la grande qualité de parvenir à creuser des sujets intimes, à tisser la toile d’un historique personnel, tout en invitant le public à y prendre part.
(14:20) My-Van Dam, artiste pluridisciplinaire, investit les sujets profonds du trauma intergénérationnel, du deuil et du chemin vers la guérison à travers des oeuvres dont la symbolique frappe l’esprit et invitent à l’introspection. My-Van Dam raconte peut-être son histoire, elle qui créé d’ailleurs beaucoup avec sa soeur et sa mère, mais s’adresse autant à la mémoire des individus qu’à celle du collectif.
(39:40) Ensuite, Tania Lara Casaubon, à travers des œuvres faites de broderie, de tissages et de collages textiles ornées de détails attirants et familiers, conçoit des cartographies sensibles où les frontières s’érigent davantage aux creux des souvenirs et des expériences qu’à travers les démarcations géographiques traditionnelles. Les nouveaux territoires ludiques qu’elle imagine ouvrent la porte à un art participatif et des occasions de rencontres.
My-Van Dam et Tania Lara Casaubon font partie de l’exposition « Tisser l’intime » qui a lieu au Centre culturel George Vanier du 29 février au 7 avril 2024 dans le cadre de POST-INVISIBLES. (4:16) Pour nous parler du retour de la biennale et introduire avec moi le thème de cet épisode, j’ai invité sa fondatrice, Mylène Lachance-Paquin.
–» Pour en savoir plus sur Post-Invisibles : https://post-invisibles.com/
(14:20) My-Van Dam, artiste pluridisciplinaire, investit les sujets profonds du trauma intergénérationnel, du deuil et du chemin vers la guérison à travers des oeuvres dont la symbolique frappe l’esprit et invitent à l’introspection. My-Van Dam raconte peut-être son histoire, elle qui créé d’ailleurs beaucoup avec sa soeur et sa mère, mais s’adresse autant à la mémoire des individus qu’à celle du collectif.
(39:40) Ensuite, Tania Lara Casaubon, à travers des œuvres faites de broderie, de tissages et de collages textiles ornées de détails attirants et familiers, conçoit des cartographies sensibles où les frontières s’érigent davantage aux creux des souvenirs et des expériences qu’à travers les démarcations géographiques traditionnelles. Les nouveaux territoires ludiques qu’elle imagine ouvrent la porte à un art participatif et des occasions de rencontres.
My-Van Dam et Tania Lara Casaubon font partie de l’exposition « Tisser l’intime » qui a lieu au Centre culturel George Vanier du 29 février au 7 avril 2024 dans le cadre de POST-INVISIBLES. (4:16) Pour nous parler du retour de la biennale et introduire avec moi le thème de cet épisode, j’ai invité sa fondatrice, Mylène Lachance-Paquin.
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