NEOQUÉBEC-RADIO : LYNDZ DANTISTE - COMÉDIEN (M'APPELLE MOHAMED ALI)
Quel parallèle entre un boxeur noir et un acteur /une actrice noir.e au Québec ? \"La boxe est une formidable métaphore du combat des Noir·es pour leur égalité dans une société blanche, et aussi de la lutte de tout acteur ou actrice racisé·e afin de plus en plus prendre sa place et surtout sa liberté sur les scènes québécoises.\"
L\'illustration de cette métaphoe est incarnée dans la pièce \"M\'appelle Mohamed Ali\" écrite par l\'auteur congolais Dieudonné Niangouna, et qui sera présentée du 23 février eu 3 mars 2024 au Théatre du Nouveau Monde.De quoi s\'agit-il ? \"Un comédien se prépare à entrer en scène pour jouer le rôle de Mohamed Ali, raconter ses combats, ceux du boxeur, comme sa victoire contre George Foreman à Kinshasa en 1974, mais surtout ceux de l’activiste politique, dont son refus d’aller combattre au Vietnam – un soliloque qui ramène sans cesse l’acteur à sa propre condition. Or en multipliant ce monologue pour plusieurs voix, les questionnements, les expériences vécues et les actes prennent une puissante ampleur collective : tour à tour et ensemble, les corps sont traversés par l’acteur, par Ali, par la vie au Québec.\"
Chorégraphiée par Claudia Chan Tak et mise en scène par Philippe Racine et Tatiana Zinga Botao, cette pièce est jouée par une pléiade de comédiens et comédiennes de grand talent et dont le choix incarne allègrement \"l’unité d’une présence noire et sa pluralité de cultures, de générations, de parcours \": Vlad Alexis, Oumy Dembele, Fayolle Jean Jr., Widemir Normil, Martin-David Peters, Rodley Pitt, Philippe Racine, Frank Sylvestre et Lyndz Dantiste...qui était l\'invité de Cyrille Ekwalla à Neoquébec pour en parler le 18 février.
(c) Neoquébec-radio - Fev. 2024.
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L\'illustration de cette métaphoe est incarnée dans la pièce \"M\'appelle Mohamed Ali\" écrite par l\'auteur congolais Dieudonné Niangouna, et qui sera présentée du 23 février eu 3 mars 2024 au Théatre du Nouveau Monde.De quoi s\'agit-il ? \"Un comédien se prépare à entrer en scène pour jouer le rôle de Mohamed Ali, raconter ses combats, ceux du boxeur, comme sa victoire contre George Foreman à Kinshasa en 1974, mais surtout ceux de l’activiste politique, dont son refus d’aller combattre au Vietnam – un soliloque qui ramène sans cesse l’acteur à sa propre condition. Or en multipliant ce monologue pour plusieurs voix, les questionnements, les expériences vécues et les actes prennent une puissante ampleur collective : tour à tour et ensemble, les corps sont traversés par l’acteur, par Ali, par la vie au Québec.\"
Chorégraphiée par Claudia Chan Tak et mise en scène par Philippe Racine et Tatiana Zinga Botao, cette pièce est jouée par une pléiade de comédiens et comédiennes de grand talent et dont le choix incarne allègrement \"l’unité d’une présence noire et sa pluralité de cultures, de générations, de parcours \": Vlad Alexis, Oumy Dembele, Fayolle Jean Jr., Widemir Normil, Martin-David Peters, Rodley Pitt, Philippe Racine, Frank Sylvestre et Lyndz Dantiste...qui était l\'invité de Cyrille Ekwalla à Neoquébec pour en parler le 18 février.
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