Sandrine Ampleman-Tremblay - Inconduites sexuelles policières
Sandrine est candidate au doctorat à la Faculté de droit de l’Université McGill. Ses études doctorales portent sur la responsabilité de l’État lors d’inconduites sexuelles policières et s’appuient sur des données empiriques provenant de membres de la société civile et des médias. Sandrine s’intéresse à la responsabilité de l’État lors d’inconduites sexuelles policières. Dans un premier temps, sa recherche doctorale analyse les mécanismes légaux qui sont mis à la disposition des victimes d’inconduites sexuelles policières afin de déterminer s’ils permettent d’asseoir la responsabilité de l’État. Dans un second temps, elle évalue le rôle de la société civile et des médias dans la responsabilisation de l’État, et ce, en effectuant une étude de cas de la crise de Val-d’Or.
// Le balado fait état d’une peur des plaignant.e.s au moment de la plainte en raison du contact avec les corps policiers. Il est à noter qu’au Québec, en date de la diffusion, les plaignant.e.s dans les cas d’agressions sexuelles commises par un policier en fonction, ainsi que les plaignant.e.s autochtones peuvent contacter directement le Bureau des enquêtes indépendantes.