Marie-Denise Douyon, créer pour se reconstruire
L’art et le parcours de Marie-Denise Douyon se déploient à travers le métissage culturel. Du Maghreb à Montréal, en passant par Haïti, mais aussi par le Japon et la Namibie, l’artiste multidisciplinaire revisite pour nous les lieux qui l’ont façonné et ceux qui lui ont inspiré ces différentes séries. L’artiste visuelle revient aussi sur son incarcération et nous raconte comment cette expérience traumatique a chamboulé sa vie. La création comme un exutoire s’est alors imposée à elle comme une évidence, comme un mécanisme de résistance.
L’expression d’une identité plurielle habite chacune des œuvres de Marie-Denise Douyon qui prennent la forme de peintures, d\'œuvres sculpturales, d’installations ou encore de collages. Dans son travail, les symboles d’un pays côtoient les couleurs d’un autre avec une admiration mutuelle, affranchis de tous jugements. Enracinée malgré son esprit nomade, Marie-Denise Douyon s’attaque également au sujet de la surconsommation dans ses œuvres.
On s’immerge quelques instants dans les pensées de cette artiste captivante, dynamique et résiliente, pour qui la démarche artistique, les expériences et les émotions sont intimement liées. Son récit agit comme un baume, et on ne peut rester qu’admiratif·ve en réalisant que Marie-Denise Douyon choisit toujours de souligner la joie de la (re)construction, plutôt que la tristesse de la perte.
Création, conception, réalisation: Claire-Marine Beha
Musiques originales: Juliette Beha, Yvan Vindret
Musiques additionnelles sous licence libre de droits: «Guazù» par Guazù (sous licence Creative Commons) et « Crown » de Kuzzzo à partir de la plateforme Icons8.
Remerciements à la galerie Fatale Art (une galerie d’art en ligne qui présente le travail de femmes artistes) et sa fondatrice Camille Cazin, ainsi qu\'à Marie-Denise Douyon pour son accueil chaleureux et son partage.
L’expression d’une identité plurielle habite chacune des œuvres de Marie-Denise Douyon qui prennent la forme de peintures, d\'œuvres sculpturales, d’installations ou encore de collages. Dans son travail, les symboles d’un pays côtoient les couleurs d’un autre avec une admiration mutuelle, affranchis de tous jugements. Enracinée malgré son esprit nomade, Marie-Denise Douyon s’attaque également au sujet de la surconsommation dans ses œuvres.
On s’immerge quelques instants dans les pensées de cette artiste captivante, dynamique et résiliente, pour qui la démarche artistique, les expériences et les émotions sont intimement liées. Son récit agit comme un baume, et on ne peut rester qu’admiratif·ve en réalisant que Marie-Denise Douyon choisit toujours de souligner la joie de la (re)construction, plutôt que la tristesse de la perte.
Création, conception, réalisation: Claire-Marine Beha
Musiques originales: Juliette Beha, Yvan Vindret
Musiques additionnelles sous licence libre de droits: «Guazù» par Guazù (sous licence Creative Commons) et « Crown » de Kuzzzo à partir de la plateforme Icons8.
Remerciements à la galerie Fatale Art (une galerie d’art en ligne qui présente le travail de femmes artistes) et sa fondatrice Camille Cazin, ainsi qu\'à Marie-Denise Douyon pour son accueil chaleureux et son partage.