NEOQUÉBEC-RADIO/CHRONIQUE : NOS NEURONES À L'ÉPREUVE DU NUMÉRIQUE
Dimanche 3 novembre 2024, la chronique de MELISSA CANSELIET Aa porté sur les effets des campagnes électorales, particulièrement aux États-Unis, sur la psychologie des électeurs et le rôle de la manipulation émotionnelle dans les stratégies de communication.
Mélissa Canseliet y explique comment les campagnes exploitent des mécanismes neuropsychologiques pour susciter des réactions émotionnelles fortes, comme la colère, la peur ou l’espoir, en ciblant une partie du cerveau appelée l\'amygdale. Cette région du cerveau réagit de manière instantanée aux stimuli émotionnels, poussant les électeurs à des jugements rapides et extrêmes. Et les réseaux sociaux, grâce à des algorithmes, renforcent cette dynamique en proposant des contenus polarisants qui captent l’attention et amplifient les émotions.
La chroniqueuse neuroscientifique de Neoquébec décrit également le biais de confirmation, où les fausses nouvelles (fakes news) sont partagées et acceptées plus facilement lorsqu\'elles confirment des croyances préexistantes. En effet, les réseaux sociaux créent des \"bulles de filtres\", enfermant les utilisateurs dans des environnements où leurs opinions sont constamment renforcées. Ce phénomène limite le dialogue et exacerbe la polarisation, ce qui nuit au débat démocratique.
Pour se protéger de cette manipulation, Mélissa Canseliet conseille aux auditeurs de prendre du recul, de vérifier les sources et de ne pas consommer l\'information politique comme un divertissement. La chroniqueuse et directrice générale de Humanet souligne l\'importance de développer un esprit critique pour éviter la manipulation et appelle à un effort collectif pour améliorer l\'accès à l\'information et son interprétation, afin de protéger la santé mentale et la résilience des citoyens face aux pressions électorales.
(c) CYEK-LE PODCAST / NEOQUÉBEC (nov. 24)
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Mélissa Canseliet y explique comment les campagnes exploitent des mécanismes neuropsychologiques pour susciter des réactions émotionnelles fortes, comme la colère, la peur ou l’espoir, en ciblant une partie du cerveau appelée l\'amygdale. Cette région du cerveau réagit de manière instantanée aux stimuli émotionnels, poussant les électeurs à des jugements rapides et extrêmes. Et les réseaux sociaux, grâce à des algorithmes, renforcent cette dynamique en proposant des contenus polarisants qui captent l’attention et amplifient les émotions.
La chroniqueuse neuroscientifique de Neoquébec décrit également le biais de confirmation, où les fausses nouvelles (fakes news) sont partagées et acceptées plus facilement lorsqu\'elles confirment des croyances préexistantes. En effet, les réseaux sociaux créent des \"bulles de filtres\", enfermant les utilisateurs dans des environnements où leurs opinions sont constamment renforcées. Ce phénomène limite le dialogue et exacerbe la polarisation, ce qui nuit au débat démocratique.
Pour se protéger de cette manipulation, Mélissa Canseliet conseille aux auditeurs de prendre du recul, de vérifier les sources et de ne pas consommer l\'information politique comme un divertissement. La chroniqueuse et directrice générale de Humanet souligne l\'importance de développer un esprit critique pour éviter la manipulation et appelle à un effort collectif pour améliorer l\'accès à l\'information et son interprétation, afin de protéger la santé mentale et la résilience des citoyens face aux pressions électorales.
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