À l\'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand commente les propos du premier ministre François Legault qui a réitéré, à Paris, son désir de voir Ottawa s\'occuper de la relocalisation de la moitié des demandeurs d\'asile qui se trouvent au Québec. «Qu\'est-ce que ça veut dire, dans les faits? C\'est une déportation. Je sais que des partis d\'opposition ont utilisé le terme et ce n\'est pas faux. C\'est-à-dire qu\'on ne parle pas de gens qui viennent de débarquer et qu\'on envoie ailleurs, mais de gens qui sont déjà installés ici.»  Le ministre québécois de l’Immigration, Jean-François Roberge, a tenté de se faire rassurant, mais de nombreuses questions demeurent sans réponses. «Comment tu fais pour déterminer qui part à quel moment? se demande Paul Arcand. Et là, on est dans le flou [...] L\'autre réalité, c\'est que les provinces canadiennes ne veulent pas de ces réfugiés  [...] Ce qui fait que François Legault a l\'air coincé. Mais Justin Trudeau aussi est coincé.» Autres sujets abordés Liban: Israël bombarde sans relâche Le phénomène Urbex prend de l\'ampleur La STM ferme d\'urgence, pour une durée indéterminée, trois stations de la ligne bleue Soins dentaires: Chicane Ottawa-Québec sur le dos des patients Une femme poursuit le chanteur Garth Brooks pour agression sexuelle Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée