Ma petite improvisation musicale au piano en introduction me permet d’observer comment l’attachement à certaines pensées crée ma réalité. Par exemple, l’identification à la pensée « oh je suis enregistrée et écoutée et donc je n’ai pas le droit à l’erreur » me cause du stress alors que les circonstances extérieures – fille qui joue du piano - sont exactement les mêmes avec ou sans la pensée. J’ai donc le choix d’une réalité stressante ou non puisque les circonstances n’y sont pour rien. Par ailleurs, dans cet épisode, je vous parle de mon exploration de l’intimité ces derniers temps. Est-il possible de rester ouverte, en lien avec l’autre, dans toutes mes relations interpersonnelles incluant avec les gens que je ne connais pas?