186 | La Gaspésie : Royaume de liberté ?
Merci à nos commanditairesJean Sébastien Lebrun, Avocat / Lawyer, Associé / Partner T: 514-866-9842Antoine Bernier, pour son livre : disponible ici
Dans le Trio économique, on discute cette semaine de l’histoire du développement de la Gaspésie. Il est notamment question de Charles Robin, un Anglo-Normand qui a réussi à établir un monopole sur la pêche en Gaspésie au 18e siècle. Vincent défend l’idée qu’un monopole peut être souhaitable lorsque la ressource exploitée est un bien commun. Dans le cas de la pêche, le monopole est en quelque sorte en compétition avec lui-même dans le temps : s’il épuise la ressource, il disparaît.
Ce que démontre l’étude de Vincent, c’est que le niveau de vie et la richesse des Gaspésiens étaient à l’époque bien supérieurs à ceux du reste des Québécois. Cette belle histoire a pris fin… quand l’État s’en est mêlé !
Dans la TAVERNE, on parle des gens qui ressentent le besoin d’étaler leur culture comme on étale du beurre de peanut, de signalement de vertus au sein de leur tribu, d’études en psychologie sociale, d’un entrepreneur atteint du trouble oppositionnel avec provocation, et de comment la plus grande arnaque de l’État, c’est l’impôt prélevé à la source.
0:00 Intro
4:07 La Gaspésie
10:08 Les pêcheries : un monopole souhaitable ?
13:19 Le sweet spot de la pêche
20:02 La surpêche causée par les subventions
24:07 Forrest Gump et son crevettier
27:12 Le monopole de Charles Robin
40:23 Croissance de la population en Gaspésie
42:41 Les Gaspésiens étaient plus riches
51:42 L’État a mis fin à cette belle histoire
54:40 Conclusion première partie
56:42 Pub – Livre d’Antoine Bernier
Dans le Trio économique, on discute cette semaine de l’histoire du développement de la Gaspésie. Il est notamment question de Charles Robin, un Anglo-Normand qui a réussi à établir un monopole sur la pêche en Gaspésie au 18e siècle. Vincent défend l’idée qu’un monopole peut être souhaitable lorsque la ressource exploitée est un bien commun. Dans le cas de la pêche, le monopole est en quelque sorte en compétition avec lui-même dans le temps : s’il épuise la ressource, il disparaît.
Ce que démontre l’étude de Vincent, c’est que le niveau de vie et la richesse des Gaspésiens étaient à l’époque bien supérieurs à ceux du reste des Québécois. Cette belle histoire a pris fin… quand l’État s’en est mêlé !
Dans la TAVERNE, on parle des gens qui ressentent le besoin d’étaler leur culture comme on étale du beurre de peanut, de signalement de vertus au sein de leur tribu, d’études en psychologie sociale, d’un entrepreneur atteint du trouble oppositionnel avec provocation, et de comment la plus grande arnaque de l’État, c’est l’impôt prélevé à la source.
0:00 Intro
4:07 La Gaspésie
10:08 Les pêcheries : un monopole souhaitable ?
13:19 Le sweet spot de la pêche
20:02 La surpêche causée par les subventions
24:07 Forrest Gump et son crevettier
27:12 Le monopole de Charles Robin
40:23 Croissance de la population en Gaspésie
42:41 Les Gaspésiens étaient plus riches
51:42 L’État a mis fin à cette belle histoire
54:40 Conclusion première partie
56:42 Pub – Livre d’Antoine Bernier