Cultiver la joie. (Extrait de mon journal d'écriture) -Épisode bonus
Parfois, la joie est humble.
Quand chaque minute est comptée. Quand le simple fait de respirer demande un effort. Quand garder la tête hors de l’eau est déjà un exploit. La joie n’est pas un grand feu d’artifice.
Elle ressemble plutôt à ces petites lucioles qui brillent dans la nuit – parfois à peine visibles, mais bien réelles.
Elle vit dans ces micro-moments où l’on se permet d’être simplement humain.
Elle est là, dans le « merci » sincère murmuré. dans ce café partagé en silence, dans ce petit pas en avant, même quand la montagne semble immense, dans ces yeux qui se croisent et se reconnaissent.
Et c’est fascinant de voir comment ces petits moments de joie se propagent.
La joie est là, patiente. Elle nous attend dans les interstices de nos journées chargées. Elle ne demande pas la perfection. Juste une petite place pour exister.
La joie, non pas une joie tapageuse ou forcée, mais ces petites lucioles de joie qui illuminent nos journées quand nous prenons le temps de les remarquer.
Quel sera l'art d'être humain en 2025 ? Peut-être sera-ce justement cela : l'art de cultiver la joie dans nos vulnérabilités partagées en accueillant chaque luciole de joie comme un petit miracle quotidien.
Je nous souhaite l'audace de croire que 2025 peut être différente. Non pas parce que le monde extérieur va magiquement changer, mais parce que nous choisirons, jour après jour, de cultiver ces petites lucioles de joie.
Quand chaque minute est comptée. Quand le simple fait de respirer demande un effort. Quand garder la tête hors de l’eau est déjà un exploit. La joie n’est pas un grand feu d’artifice.
Elle ressemble plutôt à ces petites lucioles qui brillent dans la nuit – parfois à peine visibles, mais bien réelles.
Elle vit dans ces micro-moments où l’on se permet d’être simplement humain.
Elle est là, dans le « merci » sincère murmuré. dans ce café partagé en silence, dans ce petit pas en avant, même quand la montagne semble immense, dans ces yeux qui se croisent et se reconnaissent.
Et c’est fascinant de voir comment ces petits moments de joie se propagent.
La joie est là, patiente. Elle nous attend dans les interstices de nos journées chargées. Elle ne demande pas la perfection. Juste une petite place pour exister.
La joie, non pas une joie tapageuse ou forcée, mais ces petites lucioles de joie qui illuminent nos journées quand nous prenons le temps de les remarquer.
Quel sera l'art d'être humain en 2025 ? Peut-être sera-ce justement cela : l'art de cultiver la joie dans nos vulnérabilités partagées en accueillant chaque luciole de joie comme un petit miracle quotidien.
Je nous souhaite l'audace de croire que 2025 peut être différente. Non pas parce que le monde extérieur va magiquement changer, mais parce que nous choisirons, jour après jour, de cultiver ces petites lucioles de joie.