Doris Jean Baptiste, créatrice charismatique
Bienvenue au neuvième épisode de La Quarantaine, une série balado de 40 conversations avec des personnes de 40 à 49 ans qui se racontent. On prend le temps de se parler pour mieux se comprendre. Mon nom est Brigitte Gemme et j’adore faire parler les autres. Ce projet, c’est ma manière de donner du sens à ce milieu de vie où on continue de grandir et où on peut encore se redéfinir.
J’ai le bonheur aujourd’hui d’une conversation avec Doris Jean Baptiste, 47 ans. Doris est née à Port-au-Prince en Haïti et y a fait ses études chez les sœurs puis en gestion à l’université. Inquiète de la montée de l’insécurité et de la violence, elle immigre au Québec avec son conjoint en 2002, mais ses parents restent derrière. En janvier 2010, un puissant tremblement de terre détruit l’église où se trouvait sa mère. Elle ne fut jamais retrouvée. La foi de Doris s’est elle aussi effondrée ce jour-là.
Au fil de l’entrevue, Doris me raconte son enfance dans un quartier où tout le monde se connaissait, son bonheur d’avoir deux filles alors qu’elle se croyait infertile et ses premières années comme immigrante et jeune maman dans la région de Montréal. Elle me confie ce qui l’a ramenée dans la foi catholique après un deuil douloureux, partage sa démarche artistique et me parle de son engagement pour la guérison des autres.
Merci de partager ce moment avec nous.
J’ai le bonheur aujourd’hui d’une conversation avec Doris Jean Baptiste, 47 ans. Doris est née à Port-au-Prince en Haïti et y a fait ses études chez les sœurs puis en gestion à l’université. Inquiète de la montée de l’insécurité et de la violence, elle immigre au Québec avec son conjoint en 2002, mais ses parents restent derrière. En janvier 2010, un puissant tremblement de terre détruit l’église où se trouvait sa mère. Elle ne fut jamais retrouvée. La foi de Doris s’est elle aussi effondrée ce jour-là.
Au fil de l’entrevue, Doris me raconte son enfance dans un quartier où tout le monde se connaissait, son bonheur d’avoir deux filles alors qu’elle se croyait infertile et ses premières années comme immigrante et jeune maman dans la région de Montréal. Elle me confie ce qui l’a ramenée dans la foi catholique après un deuil douloureux, partage sa démarche artistique et me parle de son engagement pour la guérison des autres.
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