Le Fantôme de l'Opéra a-t-il existé ? Légende ou réalité ?
Nous sommes à la fin du XIXe siècle à Paris. Des crimes inexpliqués touchent l\'Opéra Garnier. Certaines danseuses parlent d\'un fantôme au visage défiguré qui commettrait ces crimes. Alors... invention ou réalité? Qu\'en est t il de l\'histoire du Fantôme de l\'Opéra Garnier?
Un épisode de La Petite Histoire, un podcast de La Fabrik Audio.
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Nous sommes en 1873. Ernest est un jeune pianiste prometteur et il est en train de composer une œuvre musicale au conservatoire de musique de Paris situé dans le IXe arrondissement, conservatoire qui se trouve non loin de ce qui sera quelques années plus tard l\'opéra Garnier, en pleine construction à cette époque. Mais un incendie se déclare soudainement et le conservatoire est entièrement brulé!
On déplore de nombreuses victimes... Parmi elles, la fiancée du pianiste. Cette jeune ballerine avec laquelle il devait se marier quelques mois après meurt ce 28 octobre 1873.
Les pompiers de Paris cherchent tous les corps ou les rescapés de cet incendie et ne trouvent pas le corps d\'Ernest. Les autorités finissent donc par enregistrer son décès.
Les années passent et l\'Opéra Garnier continuent à accueillir dans son enceinte de nombreux spectacles !
Mais, dans les années 1880, des histoires commencent à se faire entendre! Les machinistes et les danseurs de l\'Opéra Garnier parlent d’apparitions dans les sous-sols et les loges de l\'Opéra. Si on en croit les récits qui sont racontés, un homme au visage atroce rôderait dans l\'Opéra Garnier. Du côté de la direction de l\'Opéra, on ne croit pas à ces histoires; pas plus que chez les policiers. Mais, le 20 mai 1896, alors que nous sommes en pleine représentation, le grand lustre de l\'opéra qui se situe au dessus de la tête du public se décroche et heurte une spectatrice assise à la place numéro 13 ! Elle meurt sur le coup.
Le temps passe et une deuxième catastrophe arrive : une danseuse de l’opéra chute dans le grand escalier et atterrit sur la treizième marche…
Quelques temps plus tard, un maître chanteur se fait connaître et s\'adresse au directeur du Palais Garnier réclamant 20 000 francs par mois. Il dit que s\'il n\'obtient pas cette somme, le grand lustre tombera à nouveau sur les spectateurs !
La direction ne répond pas au maitre chanteur et l\'opéra semble retrouver un peu de tranquillité jusqu\'à ce qu\'on retrouve un machiniste pendu dans les souterrains de l’opéra. Au début c\'est la thèse du suicide qui est défendue, mais très vite le trouble s\'impose et on commence à redouter un assassinat. Les autorités sont perdues.
Puis c\'est au tour d\'une jeune chanteuse soprano de raconter que la nuit eklle entend une voix mélodieuse l’appeler. Elle va même affirmer au policier avoir aperçu un homme au visage caché par un masque avec une cape noire plusieurs fois dans sa loge!
Ca y est ! La panique prend place au sein de l\'Opéra Garnier et des danseurs décident même de placer un fer-à-cheval au-dessus de l’entrée de l’aile de la scène à droite.
Le tout Paris ne parle plus que de cette affaire du fantome de l\'opéra et en 1910, Gaston Leroux sort un roman : Le Fantôme de l’Opéra, œuvre qui sera adaptée bien plus tard sous forme de comédie musicale.
On ne sait toujours pas ce qu\'il s\'est passé dans cet Opéra mythnique de Paris, mais l\'une des thèses qui se fait entendre régulièrement c\'est celle qui raconte que le fantôme de l\'opéra serait en fait le pianiste Ernest dont je vous parlais en début de récit ! Certains disent qu’il n\'aurait pas péri dans l\'incendie mais qu\'il aurait été complètement défiguré. Et il aurait choisi, on ne sait pour quelle raison, de se réfugier pendant l\'incendie dans les souterrains de l’Opéra Garnier! Inconsolable après le décès de celle qui devait être sa future épouse, il aurait alors choisi de rester caché à jamais! Et peut être de commettre toutes ces atrocités du Palais Garnier!
Un épisode de La Petite Histoire, un podcast de La Fabrik Audio.
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Nous sommes en 1873. Ernest est un jeune pianiste prometteur et il est en train de composer une œuvre musicale au conservatoire de musique de Paris situé dans le IXe arrondissement, conservatoire qui se trouve non loin de ce qui sera quelques années plus tard l\'opéra Garnier, en pleine construction à cette époque. Mais un incendie se déclare soudainement et le conservatoire est entièrement brulé!
On déplore de nombreuses victimes... Parmi elles, la fiancée du pianiste. Cette jeune ballerine avec laquelle il devait se marier quelques mois après meurt ce 28 octobre 1873.
Les pompiers de Paris cherchent tous les corps ou les rescapés de cet incendie et ne trouvent pas le corps d\'Ernest. Les autorités finissent donc par enregistrer son décès.
Les années passent et l\'Opéra Garnier continuent à accueillir dans son enceinte de nombreux spectacles !
Mais, dans les années 1880, des histoires commencent à se faire entendre! Les machinistes et les danseurs de l\'Opéra Garnier parlent d’apparitions dans les sous-sols et les loges de l\'Opéra. Si on en croit les récits qui sont racontés, un homme au visage atroce rôderait dans l\'Opéra Garnier. Du côté de la direction de l\'Opéra, on ne croit pas à ces histoires; pas plus que chez les policiers. Mais, le 20 mai 1896, alors que nous sommes en pleine représentation, le grand lustre de l\'opéra qui se situe au dessus de la tête du public se décroche et heurte une spectatrice assise à la place numéro 13 ! Elle meurt sur le coup.
Le temps passe et une deuxième catastrophe arrive : une danseuse de l’opéra chute dans le grand escalier et atterrit sur la treizième marche…
Quelques temps plus tard, un maître chanteur se fait connaître et s\'adresse au directeur du Palais Garnier réclamant 20 000 francs par mois. Il dit que s\'il n\'obtient pas cette somme, le grand lustre tombera à nouveau sur les spectateurs !
La direction ne répond pas au maitre chanteur et l\'opéra semble retrouver un peu de tranquillité jusqu\'à ce qu\'on retrouve un machiniste pendu dans les souterrains de l’opéra. Au début c\'est la thèse du suicide qui est défendue, mais très vite le trouble s\'impose et on commence à redouter un assassinat. Les autorités sont perdues.
Puis c\'est au tour d\'une jeune chanteuse soprano de raconter que la nuit eklle entend une voix mélodieuse l’appeler. Elle va même affirmer au policier avoir aperçu un homme au visage caché par un masque avec une cape noire plusieurs fois dans sa loge!
Ca y est ! La panique prend place au sein de l\'Opéra Garnier et des danseurs décident même de placer un fer-à-cheval au-dessus de l’entrée de l’aile de la scène à droite.
Le tout Paris ne parle plus que de cette affaire du fantome de l\'opéra et en 1910, Gaston Leroux sort un roman : Le Fantôme de l’Opéra, œuvre qui sera adaptée bien plus tard sous forme de comédie musicale.
On ne sait toujours pas ce qu\'il s\'est passé dans cet Opéra mythnique de Paris, mais l\'une des thèses qui se fait entendre régulièrement c\'est celle qui raconte que le fantôme de l\'opéra serait en fait le pianiste Ernest dont je vous parlais en début de récit ! Certains disent qu’il n\'aurait pas péri dans l\'incendie mais qu\'il aurait été complètement défiguré. Et il aurait choisi, on ne sait pour quelle raison, de se réfugier pendant l\'incendie dans les souterrains de l’Opéra Garnier! Inconsolable après le décès de celle qui devait être sa future épouse, il aurait alors choisi de rester caché à jamais! Et peut être de commettre toutes ces atrocités du Palais Garnier!