Tue 24 Sep 2024
L'incontournable Poutine - La Banquise
Sophia reçoit Annie Barsalou du restaurant La Banquise, celle qui a fait de son restaurant familial un attrait touristique international. Ce restaurant iconique a vu le jour en 1968, alors que le père d\'Annie, pompier de profession, décide de démarrer un casse-croûte ouvert 24h sur 24, juste devant la caserne où il travaille.
Au début des années 90, Pierre Barsalou est prêt pour la retraite et décide de vendre son restaurant. C’est alors qu’Annie manifeste son intérêt pour l’entreprise. Après discussion avec le reste de la famille, une entente est conclue et Annie, qui est alors âgée d\'à peine 20 ans et encore aux études, se retrouve propriétaire du petit casse-croûte familial qui n’offre alors que deux choix de poutines sur son menu.
Plus de 30 ans après avoir racheté le restaurant de son père, et 55 ans après l’ouverture de celui-ci, Annie et son conjoint ont vendu La Banquise à la Bannière Ashton en novembre 2023. Le petit resto de 6 employés et quelques tables a pris de l’ampleur depuis sa reprise par Annie jusqu’à la vente à Ashton: de 6 à 108 employés, de 2 à plus de 30 variétés de poutines, d’une petite salle à un édifice complet en plus de l’ajout d’une terrasse, et, des milliers de journées et de nuits à servir de la poutine, parfois jusqu’à 2000 par jour!
La Banquise provoque une sorte de fascination chez les touristes et autres « foodies » étrangers pour qui un séjour à Montréal doit passer par l’expérience d’une poutine à La Banquise. Les Montréalais se plaisent aussi à dire que la meilleure façon de terminer une soirée est de passer par La Banquise pour déguster une poutine. Il est d’ailleurs impressionnant de retrouver une énorme quantité de vidéos de touristes qui se filment en mangeant la fameuse poutine de La Banquise, le seul met composant le menu.
Cet engouement international a non seulement fait de ce restaurant un attrait touristique, il a aussi mené Annie Barsalou sur les plateaux d’un important « morning show » aux États-Unis, à des entrevues sur des chaînes d’information canadiennes et américaines et à des articles provenants d’un peu partout dans le monde, mais surtout, à un très grand succès entrepreneurial.
Annie ne saurait s’en plaindre, mais après avoir multiplié les nuits et les week-ends à travailler pour faire « rouler la business », à faire d\'incalculables aller-retour au marché pour approvisionner son restaurant, et à servir des centaines de milliers de poutines, elle est maintenant prête à se reposer avant de relever d’autres défis, en commençant par celui de décrocher de la patate.
Bonne écoute!
Au début des années 90, Pierre Barsalou est prêt pour la retraite et décide de vendre son restaurant. C’est alors qu’Annie manifeste son intérêt pour l’entreprise. Après discussion avec le reste de la famille, une entente est conclue et Annie, qui est alors âgée d\'à peine 20 ans et encore aux études, se retrouve propriétaire du petit casse-croûte familial qui n’offre alors que deux choix de poutines sur son menu.
Plus de 30 ans après avoir racheté le restaurant de son père, et 55 ans après l’ouverture de celui-ci, Annie et son conjoint ont vendu La Banquise à la Bannière Ashton en novembre 2023. Le petit resto de 6 employés et quelques tables a pris de l’ampleur depuis sa reprise par Annie jusqu’à la vente à Ashton: de 6 à 108 employés, de 2 à plus de 30 variétés de poutines, d’une petite salle à un édifice complet en plus de l’ajout d’une terrasse, et, des milliers de journées et de nuits à servir de la poutine, parfois jusqu’à 2000 par jour!
La Banquise provoque une sorte de fascination chez les touristes et autres « foodies » étrangers pour qui un séjour à Montréal doit passer par l’expérience d’une poutine à La Banquise. Les Montréalais se plaisent aussi à dire que la meilleure façon de terminer une soirée est de passer par La Banquise pour déguster une poutine. Il est d’ailleurs impressionnant de retrouver une énorme quantité de vidéos de touristes qui se filment en mangeant la fameuse poutine de La Banquise, le seul met composant le menu.
Cet engouement international a non seulement fait de ce restaurant un attrait touristique, il a aussi mené Annie Barsalou sur les plateaux d’un important « morning show » aux États-Unis, à des entrevues sur des chaînes d’information canadiennes et américaines et à des articles provenants d’un peu partout dans le monde, mais surtout, à un très grand succès entrepreneurial.
Annie ne saurait s’en plaindre, mais après avoir multiplié les nuits et les week-ends à travailler pour faire « rouler la business », à faire d\'incalculables aller-retour au marché pour approvisionner son restaurant, et à servir des centaines de milliers de poutines, elle est maintenant prête à se reposer avant de relever d’autres défis, en commençant par celui de décrocher de la patate.
Bonne écoute!