Thu 2 Dec 2021
Épisode 27 - Un chandail (ou champs d'AI) québécois tricoté serré !
Dans le cadre de cet épisode d’IA Café, nous avons pensé lire, pour vous, un rapport sur l’intelligence artificielle au Québec. Ce rapport a été publié en 2020 par Yves Gingras et Maxime Colleret de l’Université du Québec à Montréal. Le rapport que nous avons lu est intitulé : L'intelligence artificielle au Québec : un réseau tricoté serré.
Dans ce rapport, on y mentionne (sans surprise):que quelques organisations domineraient (sans surprise) l'écosystème AI québécois: l'Institut québécois d’intelligence artificielle (Mila); Ivado Labs, Scale AI, le Creative Destruction Lab (CDL), le Comité consultatif ministériel sur l'intelligence artificielle (CCMIA). Plus surprenant toutefois, on y apprend:que ce réseau AI Québécois serait contrôlé par quelques acteurs seulementque ces acteurs au sein de ces organisations seraient impliqués à plusieurs étapes du financement en recherche que certains acteurs siègeraient sur conseil et comités associés aux instances de financementqu’ils exerceraient sur le système AI Québec un pouvoir certain sur la vie et la survie de cet écosystème québécois.Comprenez-vous pourquoi nous nous intéressons à ce rapport!Aussi, nous revenons sur un épisode de notre podcast ami, Open-Layer, animé par notre collaborateur David Beauchemin. Dans l'Épisode 38 d'Open Layer, David s'est entretenu avec Maxime Collet, corédacteur du rapport en question.
Évidemment, ça fait un peu Québéco-centriste tout ça, mais nous souhaitions que cette analyse rigoureuse et approfondie de l’écosystème québécois puisse être instructive pour quiconque souhaite comprendre l'écosystème AI de leurs propres pays ou régions du monde. C’est du moins l’angle que nous souhaitions explorer dans cet épisode avec vous.
Production et animation: Jean-François Sénéchal, Ph.D
Collaborateurs: David Beauchemin, Ève Gaumond, Fredérick Plamondon, Sylvain Munger, Shirley Plumerand, Claude Coulombe.
Dans ce rapport, on y mentionne (sans surprise):que quelques organisations domineraient (sans surprise) l'écosystème AI québécois: l'Institut québécois d’intelligence artificielle (Mila); Ivado Labs, Scale AI, le Creative Destruction Lab (CDL), le Comité consultatif ministériel sur l'intelligence artificielle (CCMIA). Plus surprenant toutefois, on y apprend:que ce réseau AI Québécois serait contrôlé par quelques acteurs seulementque ces acteurs au sein de ces organisations seraient impliqués à plusieurs étapes du financement en recherche que certains acteurs siègeraient sur conseil et comités associés aux instances de financementqu’ils exerceraient sur le système AI Québec un pouvoir certain sur la vie et la survie de cet écosystème québécois.Comprenez-vous pourquoi nous nous intéressons à ce rapport!Aussi, nous revenons sur un épisode de notre podcast ami, Open-Layer, animé par notre collaborateur David Beauchemin. Dans l'Épisode 38 d'Open Layer, David s'est entretenu avec Maxime Collet, corédacteur du rapport en question.
Évidemment, ça fait un peu Québéco-centriste tout ça, mais nous souhaitions que cette analyse rigoureuse et approfondie de l’écosystème québécois puisse être instructive pour quiconque souhaite comprendre l'écosystème AI de leurs propres pays ou régions du monde. C’est du moins l’angle que nous souhaitions explorer dans cet épisode avec vous.
Production et animation: Jean-François Sénéchal, Ph.D
Collaborateurs: David Beauchemin, Ève Gaumond, Fredérick Plamondon, Sylvain Munger, Shirley Plumerand, Claude Coulombe.