Cette fois, la lettre n’est pas pour un ex.
Elle est pour moi.
Et peut-être aussi pour toi.
À celle qui se demande si elle a été une bonne mère.
À celle qui a fait comme elle pouvait, au milieu du chaos.
À celle qui a tenu debout, en miettes, sans se plaindre.
Oui, tu as fait des erreurs.
Oui, tes enfants ont souffert.
Mais tu es restée. Tu t’es battue. Tu les as aimés.Et ça, c’est déjà immense.
Dans cette lettre intime, je parle de culpabilité maternelle, d’hypersensibilité, de solitude,
mais aussi de pardon — surtout celui qu’on doit s’accorder à soi-même.