Enfant, Louis-Jean Cormier vivait écartelé entre le hockey et la musique. Mais à l’adolescence, il accroche ses patins et répond à l’appel du rock. Au cours de cet entretien qui couvre large, le chanteur revient sur l’histoire de son ancien groupe, Kalembourg, ainsi que sur celle d’un autre groupe dont le nom commence par un K. «J’ai beaucoup aimé être le guitar hero de Vincent Vallières», dit-il au sujet de celui qu’il a un temps accompagné, avant d’évoquer l’influence de Martin Léon sur sa trajectoire spirituelle et sa relation avec le grand Serge Fiori. Il est aussi question de la teneur intime de ses deux magnifiques plus récents albums, Quand la nuit tombe et Le ciel est au plancher.