LE DÉLUGE - CHAPITRE 1 - La Morale du Nocher - Partie 3 - ACTUAL PLAY - SHADOWDARK
Seth Charon n\'est plus seul sur son radeau. Il transporte avec lui une belle compagnie, dont il se méfie. Des altercations ont déjà eu lieu, semant davantage le doute parmi les passagers. Cependant, dans l\'adversité, les forces se sont unies. Est-ce que le voyage les mènera à bon port? S\'agit-il vraiment d\'une colonie paradisiaque où l\'abondance et la paix règnent? L\'équipe perd des plumes, mais parviendra-t-elle à en sauver quelques-unes à l\'aide des moyens du bord?
Pour le savoir, il suffit de plonger dans ce dernier épisode du chapitre 1 de la mini-campagne Le Déluge.
Bonne écoute!
-------
Fut un temps où la terre était sèche, où le soleil faisait partie intégrante d’un quotidien banal et anodin. Fut un temps où les humains sortaient savourer un repas délectable au restaurant, où les miettes et les restes étaient jetés allègrement, où même les mouettes se régalaient. Fut un temps où on laissait couler l’eau des robinets afin qu’elle atteigne la température idéale à la consommation. Chaque goutte qui s’écoulait doucement n’était pas signe de gaspillage, mais symbole de satisfaction personnelle, de désir irréfléchi.
Fut un temps où les humains se frôlaient dans l’insouciance, où les regards portés vers l’autre n’étaient pas empreints de méfiance et de crainte.
Fut un temps... Puis survint le renversement. Et tout ce qui fut s’évapora. Sans crier gare.
----- Musique
Pour le savoir, il suffit de plonger dans ce dernier épisode du chapitre 1 de la mini-campagne Le Déluge.
Bonne écoute!
-------
Fut un temps où la terre était sèche, où le soleil faisait partie intégrante d’un quotidien banal et anodin. Fut un temps où les humains sortaient savourer un repas délectable au restaurant, où les miettes et les restes étaient jetés allègrement, où même les mouettes se régalaient. Fut un temps où on laissait couler l’eau des robinets afin qu’elle atteigne la température idéale à la consommation. Chaque goutte qui s’écoulait doucement n’était pas signe de gaspillage, mais symbole de satisfaction personnelle, de désir irréfléchi.
Fut un temps où les humains se frôlaient dans l’insouciance, où les regards portés vers l’autre n’étaient pas empreints de méfiance et de crainte.
Fut un temps... Puis survint le renversement. Et tout ce qui fut s’évapora. Sans crier gare.
----- Musique
