Quels sont les symptômes négatifs possibles lors de l’arrêt de la cigarette ?
Si l’arrêt de la cigarette est reconnu comme l’une des mesures de santé les plus efficaces pour les fumeurs, le sevrage reste une période délicate. Or, il est important de connaitre les possibles symptômes négatifs lors de l’arrêt de la cigarette pour ne pas se décourager et persévérer dans l’effort. La plupart de ces symptômes peuvent en effet être soulagés ou atténués avec les mesures adaptées.
Les symptômes physiques lors du sevrage de la nicotine
La dépendance physique à la nicotine est réelle, et se traduit, lors du sevrage, par des symptômes de manque physique. Ces derniers incluent des tremblements, des maux de tête, de la fatigue, de la nervosité générale avec une difficulté à rester calme et assis ou à se concentrer sur des tâches complexes.
Souvent, l’arrêt de la cigarette induit une augmentation d’appétit et une légère prise de poids. Celle-ci est due à trois raisons. D’abord, le plaisir de manger est décuplé car les papilles abimées par le fait de fumer se renouvellent. Ensuite, la baisse de la dépense calorique journalière induit la prise de masse. En effet, la nicotine induit une réaction chimique corporelle qui brûle des calories, environ 10 kcal par cigarette fumée. Enfin, la nicotine est réputée pour son action coupe-faim, car elle fait augmenter la glycémie et avec elle la sensation de satiété. Sans nicotine, l’appétit redevient intact, occasionnant des prises alimentaires plus conséquentes. Le grignotage peut aussi remplacer l’acte de fumer, et induire une prise de poids plus importante.
Pour éviter que les symptômes physiques ne soient trop présents, les gros consommateurs de nicotine peuvent choisir un sevrage soutenu par des substituts qui permettent de baisser progressivement la dose de nicotine consommée.
Les symptômes psychologiques ou émotionnels
L’acte de fumer résulte parfois d’une fuite par suite d’un inconfort émotionnel, lequel va ressurgir lors du sevrage. Si les émotions ressenties sont trop fortes, ou que la personne ressent de l’anxiété et des troubles dépressifs, l’accompagnement d’un professionnel est fortement conseillé.
Le sevrage amplifie le stress vécu par le corps et par le mental, et le cerveau doit réapprendre à fonctionner normalement. En tant que substance psychoactive, la nicotine modifie les réactions neuronales. La personne qui tente d’arrêter la cigarette doit donc réapprivoiser ses capacités de concentration, d’attention et de mémorisation tout en gérant son stress. La méditation, l’hypnose ou l’activité sportive sont autant de pistes pour y parvenir.
Combien de temps durent les symptômes négatifs ?
Bien qu’ils soient parfois très difficiles à supporter, les symptômes négatifs s’atténuent rapidement, et disparaissent au bout de deux ou trois mois de sevrage de la cigarette. Le soutien d’un tiers ou d’un professionnel reste très utile pour maintenir le cap durant les premières semaines.
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Les symptômes physiques lors du sevrage de la nicotine
La dépendance physique à la nicotine est réelle, et se traduit, lors du sevrage, par des symptômes de manque physique. Ces derniers incluent des tremblements, des maux de tête, de la fatigue, de la nervosité générale avec une difficulté à rester calme et assis ou à se concentrer sur des tâches complexes.
Souvent, l’arrêt de la cigarette induit une augmentation d’appétit et une légère prise de poids. Celle-ci est due à trois raisons. D’abord, le plaisir de manger est décuplé car les papilles abimées par le fait de fumer se renouvellent. Ensuite, la baisse de la dépense calorique journalière induit la prise de masse. En effet, la nicotine induit une réaction chimique corporelle qui brûle des calories, environ 10 kcal par cigarette fumée. Enfin, la nicotine est réputée pour son action coupe-faim, car elle fait augmenter la glycémie et avec elle la sensation de satiété. Sans nicotine, l’appétit redevient intact, occasionnant des prises alimentaires plus conséquentes. Le grignotage peut aussi remplacer l’acte de fumer, et induire une prise de poids plus importante.
Pour éviter que les symptômes physiques ne soient trop présents, les gros consommateurs de nicotine peuvent choisir un sevrage soutenu par des substituts qui permettent de baisser progressivement la dose de nicotine consommée.
Les symptômes psychologiques ou émotionnels
L’acte de fumer résulte parfois d’une fuite par suite d’un inconfort émotionnel, lequel va ressurgir lors du sevrage. Si les émotions ressenties sont trop fortes, ou que la personne ressent de l’anxiété et des troubles dépressifs, l’accompagnement d’un professionnel est fortement conseillé.
Le sevrage amplifie le stress vécu par le corps et par le mental, et le cerveau doit réapprendre à fonctionner normalement. En tant que substance psychoactive, la nicotine modifie les réactions neuronales. La personne qui tente d’arrêter la cigarette doit donc réapprivoiser ses capacités de concentration, d’attention et de mémorisation tout en gérant son stress. La méditation, l’hypnose ou l’activité sportive sont autant de pistes pour y parvenir.
Combien de temps durent les symptômes négatifs ?
Bien qu’ils soient parfois très difficiles à supporter, les symptômes négatifs s’atténuent rapidement, et disparaissent au bout de deux ou trois mois de sevrage de la cigarette. Le soutien d’un tiers ou d’un professionnel reste très utile pour maintenir le cap durant les premières semaines.
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