Conférence : Mode et apparence dans la peinture québécoise, 1880-1945
Avec Esther Trépanier, professeure au Département d’histoire de l’art de l’Université du Québec à Montréal et co-commissaire de l’exposition Mode et apparence dans l’art québécois, 1880-1945, présentée au Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) du 9 février au 6 mai 2012.
Cette communication constitue une introduction à l’exposition présentée au MNBAQ, car elle aborde les défis que posait celle-ci ainsi que les questionnements des commissaires, qui ont souhaité, en explorant le domaine de la mode, jeter un regard nouveau sur l’art québécois.
Elle veut également présenter, au moyen des tableaux d’un grand nombre d’artistes qui ont œuvré au Québec pendant sept décennies, les diverses manières dont ceux-ci ont témoigné de l’élégance de leurs contemporains au cours d’une période marquée non seulement par l’industrialisation et l’urbanisation de la société québécoise mais aussi par l’implantation du commerce de la mode moderne. La conférence prend donc le contre-pied de l’archétype de la paysannerie traditionnelle illustrée par un certain art régionaliste.
Prononcée en complément à l’exposition De la Belle Époque au prêt-à-porter, présentée à la Grande Bibliothèque jusqu’au 11 novembre 2012.
Cette conférence a eu lieu à l’Auditorium de la Grande Bibliothèque le mardi 21 février 2012.
Cette communication constitue une introduction à l’exposition présentée au MNBAQ, car elle aborde les défis que posait celle-ci ainsi que les questionnements des commissaires, qui ont souhaité, en explorant le domaine de la mode, jeter un regard nouveau sur l’art québécois.
Elle veut également présenter, au moyen des tableaux d’un grand nombre d’artistes qui ont œuvré au Québec pendant sept décennies, les diverses manières dont ceux-ci ont témoigné de l’élégance de leurs contemporains au cours d’une période marquée non seulement par l’industrialisation et l’urbanisation de la société québécoise mais aussi par l’implantation du commerce de la mode moderne. La conférence prend donc le contre-pied de l’archétype de la paysannerie traditionnelle illustrée par un certain art régionaliste.
Prononcée en complément à l’exposition De la Belle Époque au prêt-à-porter, présentée à la Grande Bibliothèque jusqu’au 11 novembre 2012.
Cette conférence a eu lieu à l’Auditorium de la Grande Bibliothèque le mardi 21 février 2012.