11 janvier: réactions à la démission de Sophie Brochu

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La démission de la PDG d’Hydro-Québec Sophie Brochu suscite beaucoup de réactionsLa présidente d’Hydro quittera ses fonctions le 11 avril.Elle aura dirigé la société d’État pendant 3 ans. C’est moins que ses 2 prédécesseurs, qui sont restés en poste 5 et 10 ans.
Sophie Brochu a souligné, dans un communiqué, qu’elle avait commencé son mandat au moment où le Québec était frappé de plein fouet par la pandémie.●La situation économique et sociale était alors hautement préoccupante. ●Brochu dit qu’elle s’est sentie interpellée.«Le moment est venu de passer le flambeau», écrit-elle.
François Legault l’a remerciée pour sa contribution. Le chef libéral Marc Tanguay a écrit sur Twitter que le gouvernement devra nommer une personne qui a «les hautes compétences nécessaires».De son côté, le député de Québec solidaire Haroun Bouazzi a qualifié de «très inquiétant» le départ de Sophie Brochu.

À Ottawa, Le chef conservateur Pierre Poilievre a annoncé que les partis d’opposition s’étaient entendus pour ouvrir une enquête parlementaire sur les contrats confiés par le gouvernement Trudeau à la firme de consultants américaine McKinsey. Cette enquête forcera le gouvernement fédéral à communiquer les détails des contrats qu’il a passés avec cette firme. Selon Radio-Canada, Ottawa lui aurait octroyé au moins 66 millions $ de contrats depuis 2015. 
Au Mexique, à l’issue de sa rencontre avec le président américain Joe Biden, Justin Trudeau a annoncé que le Canada achèterait aux États-Unis un système de défense antiaérienne, pour environ 406 millions $. Le Canada donnera ensuite ce système de défense à l’Ukraine.La ministre fédérale de la Défense Anita Anand a précisé que ce système avancé de missiles sol-air et ses munitions permettront à l’Ukraine de protéger sa population et ses infrastructures contre les attaques de drones, de missiles et d’avions.
Le CF Montréal a annoncé, puis annulé, une embauche controverséeL’équipe de soccer professionnel avait annoncé lundi la nomination d’un de ses anciens joueurs, Sandro Grande, au poste d’entraîneur-chef de son équipe réserve. Mais elle a annulé son contrat d’embauche dès le lendemain, à cause de la controverse suscitée par l’annonce.En effet, le soir de l’attentat du Métropolis, le 4 septembre 2012, Sandro Grande avait tweeté que la seule erreur que le tireur avait commise était de rater sa cible, la première ministre Pauline Marois. Le président du CF Montréal Gabriel Gervais a reconnu hier que l’embauche de Sandro Grande avait été une erreur.
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